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Peut on recuperer l’eau de pluie? Nos 4 idées pour vous faire profiter de la pluie

​L’eau potable est en train de devenir un luxe.

Et ce n’est pas une phrase choc pour faire peur… c’est la réalité.

Chaque été, c’est la même rengaine : restrictions d’arrosage, rivières à sec, factures d’eau qui grimpent plus vite que le thermomètre.

Alors forcément, une question te trotte dans la tête :
“Est-ce que je peux récupérer l’eau de pluie pour m’en servir au quotidien ?”

La réponse est oui.

Mais attention, ce n’est pas aussi simple que de poser une bassine sur ton balcon et d’attendre que le ciel fasse le boulot.

Il y a des règles à respecter, des usages autorisés (et d’autres interdits), des petites astuces pour en tirer un vrai bénéfice…

Et surtout : des accessoires bien pensés qui peuvent tout changer.

Parce que si tu veux faire des économies sans te compliquer la vie, il vaut mieux partir avec les bonnes infos et les bons outils.

Peut on recuperer l’eau de pluie c’est parti.

Comment récupérer l’eau de pluie efficacement ?

1/ Installer un récupérateur d’eau

Peut on recuperer l'eau de pluie?

Installer un récupérateur d’eau, c’est un peu comme planter un arbre : c’est simple en théorie, mais dans les faits, ça demande un peu d’huile de coude… et de patience.

Le principe est clair : tu vas capter l’eau qui tombe sur ton toit et la stocker dans une cuve.

C’est de loin la méthode la plus utilisée par ceux qui veulent passer à l’action sérieusement.

Et c’est aussi celle qui te permet de récupérer le plus gros volume.

Mais tu t’en doutes : qui dit gros volume, dit aussi installation plus costaude.

Si tu vis en maison, tu peux opter pour une cuve extérieure posée directement sous la gouttière.

Simple, efficace, pas besoin de creuser.

Mais attention : ça prend de la place, et ça se voit.

Si tu préfères quelque chose de plus discret (ou si tu veux carrément stocker plusieurs centaines de litres), il existe aussi des cuves enterrées, à installer dans le jardin.

Là, on n’est plus sur le même délire.

Il faut creuser, faire passer des tuyaux, prévoir un système de trop-plein, un filtre à l’entrée, un robinet de sortie…

Bref, c’est un petit chantier.

Mais une fois que c’est en place, tu peux récolter des centaines de litres d’eau sans rien faire.

Ça se remplit tout seul à chaque pluie, et tu peux t’en servir toute l’année.

Mais attention : cette eau-là n’est pas potable.

Tu peux l’utiliser pour arroser tes plantes, nettoyer ta terrasse, laver la voiture ou même remplir la chasse d’eau…

Mais pas pour cuisiner, ni pour boire un verre.

Et il y a un autre point important à avoir en tête : l’entretien.

Parce qu’un récupérateur d’eau, c’est un peu comme un aquarium… si tu ne le nettoies pas régulièrement, ça devient vite une piscine à moustiques.

Il faut vider la cuve de temps en temps, rincer le filtre, vérifier qu’aucune bestiole ne s’est invitée dedans, et surtout, bien la couvrir quand elle est pleine.

Sinon, bonjour les odeurs.

Et puis il y a la météo.

Parce qu’en été, quand tu as le plus besoin d’eau… il ne pleut plus.

Résultat : ta cuve reste vide pile au moment où tu voulais t’en servir.

C’est un peu le comble.

Alors oui, installer un récupérateur d’eau, c’est une super idée à condition d’avoir la place, le temps, et un peu d’envie de bricoler.

Sinon, tu risques vite de te retrouver avec un gros bidon vide qui t’encombre plus qu’il ne t’aide.

Mais si tu veux quelque chose de durable, capable de stocker beaucoup d’eau, c’est l’une des solutions les plus efficaces.

Il faut juste être prêt à t’y investir un minimum.

2/ Utiliser une bâche de récupération d’eau de pluie

Tu veux récupérer l’eau de pluie mais sans te lancer dans des travaux de jardinage ou jouer au plombier amateur ?
Bonne nouvelle : il existe une solution aussi souple qu’un hamac, et presque aussi relaxante.

Je te parle ici de la bâche de récupération d’eau de pluie, ce grand tapis imperméable qui te permet de récolter jusqu’à 100 litres d’eau sans poser un seul tuyau.

Oui, tu as bien lu.

Pas de perceuse, pas de vis, pas de système à raccorder à la gouttière.

Juste une bâche, de la pluie, et un peu de bon sens.

Tu la poses dans un coin de ta jardinette ou sur ton balcon, et tu la laisses faire le boulot.

À chaque averse, c’est comme si tu tendais un grand verre au ciel.

L’eau ruisselle, elle s’accumule au centre de la bâche, et tu peux la récupérer facilement grâce à une petite ouverture prévue à cet effet.

L’image peut faire sourire, mais c’est ultra pratique.

Imagine : un orage éclate alors que tu rentres à peine du boulot.

Trop tard pour sortir les seaux, pas le temps de courir sous la pluie.

Ta bâche, elle, est déjà en place.

Elle fait le job pendant que tu bois ton café à l’abri.

Et contrairement aux cuves rigides qu’on planque dans un coin du jardin, elle ne prend pas de place une fois repliée.

Quand le ciel fait la grève, tu la ranges dans un placard, derrière un pot de fleur, ou même dans ton coffre de voiture si tu veux l’emmener en vacances.

(Tu ne sais jamais, les douches de camping c’est pas toujours fiable.)

Et ce n’est pas tout.

Cette bâche est conçue pour durer : toile imperméable, coutures renforcées, elle résiste aux UV, au gel, aux feuilles mortes, aux petits insectes et même aux oiseaux trop curieux.

Elle est équipée d’un couvercle en maille qui évite que la moindre bestiole vienne y faire trempette.

Résultat : l’eau reste propre plus longtemps, et tu ne passes pas ton temps à la filtrer.

Tu peux ensuite l’utiliser pour arroser tes plantes, laver tes outils, ou remplir l’arrosoir sans avoir à ouvrir le robinet.

Pas besoin de t’équiper comme un pro du survivalisme.

Tu réduis ta consommation d’eau, tu fais un geste pour la planète, et tu économises sur ta facture.

C’est ce qu’on appelle un “3 en 1”… mais version nature.

Alors si tu veux une solution simple, rapide, et sans prise de tête pour récupérer l’eau de pluie,
la bâche est ton alliée.

Et cerise sur le compost : elle te permet de récolter 100 litres d’eau en quelques heures, juste en profitant de ce que le ciel t’offre gratuitement.

Pas besoin d’aller plus loin.
Juste à t’équiper.

3/ Canaliser l’eau via des gouttières DIY

Tu préfères mettre les mains dans le cambouis et bricoler ton propre système de récupération ?
Alors là, tu vas adorer cette solution.

Le principe est simple : détourner l’eau de tes gouttières pour l’envoyer directement dans un bac de récupération.
Pas besoin d’investir dans du matériel hors de prix ni de faire venir un pro à la maison.

Avec un peu de tuyau, un vieux tonneau, et deux ou trois colliers de serrage, tu peux créer un système 100 % maison, 100 % écolo… et 100 % satisfaisant à voir fonctionner quand la pluie commence à tomber.

C’est un peu comme construire une cabane dans les arbres quand t’étais gamin.

Sauf que là, tu récoltes de l’eau au lieu des souvenirs.

L’idée, c’est de couper ta descente de gouttière (celle qui court le long du mur de ta maison) et d’y insérer un dérivateur : un tuyau en Y ou un coude orientable.
L’eau, au lieu de filer direct dans le sol, va suivre ton nouveau circuit, direction le tonneau que t’as placé juste en dessous.

Tu maîtrises le flux, tu choisis l’endroit, tu contrôles la quantité.

Et si tu veux faire les choses bien, tu peux même y ajouter un petit filtre artisanal (type grille fine ou bout de moustiquaire tendue à l’entrée du bac) pour éviter que feuilles mortes, brindilles ou insectes viennent faire trempette.

C’est rustique, mais efficace.

Évidemment, ce n’est pas une méthode pour tout le monde.
Il faut avoir un minimum de place, vivre en maison (les gouttières d’un immeuble, on y touche pas), et avoir un brin de patience pour tout mettre en place.

Mais une fois que ton système est opérationnel, c’est un vrai petit bijou d’autonomie.

Tu profites de chaque goutte tombée sur ton toit, sans avoir à attendre que le ciel se décide à bien viser ton récupérateur.

Tu peux même pousser le délire un cran plus loin et ajouter un système de trop-plein pour éviter les débordements, ou relier plusieurs bacs entre eux si tu veux stocker plus d’eau.

L’avantage ?
C’est toi qui décides de tout, de A à Z.

Tu adaptes ton système à ta maison, à ton terrain, à ton climat.
Tu bricoles, tu ajustes, tu optimises.

Et au final, tu te retrouves avec un circuit sur mesure, que tu as conçu toi-même, sans dépendre d’aucune marque, ni d’aucun mode d’emploi.

Alors oui, c’est un peu plus exigeant que de poser une bâche ou d’acheter une cuve toute prête.
Mais pour ceux qui aiment comprendre comment les choses fonctionnent et qui n’ont pas peur de jouer du tournevis, c’est une solution ultra gratifiante.

Petit bémol (il en faut toujours un) : l’entretien.

Parce que ton joli système, s’il n’est pas nettoyé à l’automne, se transforme vite en gouttière à confiture de feuilles mortes.

Il faut penser à déboucher, rincer, vérifier les joints…
Sinon, tu risques l’inondation au prochain orage, ou pire : le retour des moustiques.

Mais si ça ne te fait pas peur, si tu es du genre à prendre plaisir à ajuster les choses au millimètre,
canaliser l’eau de pluie avec des gouttières DIY, c’est clairement une option à envisager.

Tu fais des économies, tu limites ton impact écologique, et tu gagnes une petite fierté de bricoleur à chaque fois qu’il pleut.

Et ça, ça n’a pas de prix.

4/ Réutiliser cette eau sans prise de tête

Tu as enfin récupéré de l’eau de pluie.

Bravo. T’as dompté la météo, un peu comme si tu avais dressé un nuage pour qu’il te serve à boire (ou presque). Mais maintenant, qu’est-ce que tu fais de toute cette eau stockée dans ta cuve, ta bâche ou ton tonneau DIY ?

Eh bien… pas question de la boire. Ni de te préparer des pâtes avec.

L’eau de pluie, même si elle a l’air claire et propre, n’est pas potable.

Et là, c’est souvent le moment où la motivation retombe comme un soufflé raté. Parce que bon, si c’est juste pour mouiller trois plantes et nettoyer un seau, tu te demandes si ça vaut le coup de t’embêter à la récupérer.

Mais attends, t’es loin d’avoir fait tout ça pour rien.

Cette eau peut t’être hyper utile au quotidien, sans que ça devienne un casse-tête logistique.

Tu veux un exemple concret ? Remplir la chasse d’eau de tes toilettes.

C’est un usage hyper malin, car les WC représentent environ 20 % de ta consommation d’eau potable à l’année. Oui, tu paies au prix fort pour envoyer de l’eau potable dans les égouts. On frôle l’absurde.

Alors imagine un peu : à chaque pluie, ta réserve se remplit gratos, et tu la réutilises pour un usage où la qualité de l’eau n’a aucune importance. Résultat ? Moins d’eau potable gaspillée, une facture allégée, et une planète qui respire un peu mieux.

Même topo pour laver ta voiture. Plutôt que d’utiliser l’eau du robinet, tu peux utiliser celle de ton récupérateur. Pas besoin qu’elle soit stérile, juste qu’elle ne soit pas pleine de boue.

Tu peux aussi nettoyer tes outils de jardin, tes meubles d’extérieur, ou faire un brin de ménage sur ta terrasse après un gros orage. Ce sont des usages simples, sans prise de tête, mais qui te font économiser plusieurs litres d’eau à chaque fois.

Et puis il y a les plantes.

Tes plantes vertes, ton potager, ton basilic sur le rebord de la fenêtre… elles adorent l’eau de pluie. Pourquoi ? Parce qu’elle est douce, sans chlore, ni calcaire. Un vrai spa végétal.

Et contrairement à l’eau du robinet qui peut parfois “brûler” les racines à cause du chlore, l’eau de pluie est parfaitement adaptée à l’arrosage. Tu peux l’utiliser sans restriction (sauf pendant une sécheresse extrême, bien sûr… là, c’est le préfet qui décide).

Mais voilà, tu vas peut-être me dire : “Oui, mais si je veux aller plus loin ? Filtrer cette eau, la rendre potable, carrément l’utiliser dans toute la maison ?”

Et là, on entre dans une autre dimension.

Filtrer l’eau de pluie, c’est possible. Mais ce n’est pas une promenade de santé.

Il faut des systèmes de filtration multi-étapes, des UV, des membranes spécifiques, voire même une microstation de potabilisation. En clair : du matos technique, un peu cher, et surtout… un vrai suivi.

Parce qu’une eau mal filtrée peut être pire que de l’eau sale : elle te donne l’illusion d’être propre, alors qu’elle peut être bourrée de bactéries invisibles.

Donc si tu veux l’utiliser en toute sécurité, reste sur les usages extérieurs et sanitaires. C’est là que l’eau de pluie est la plus efficace… sans te demander de devenir un expert en microbiologie.

Tu fais des économies. Tu évites le gaspillage. Tu deviens un petit héros de l’eau, version 2.0.

Et tout ça, sans te prendre la tête.

5/ Stocker proprement avec un seau de pluie avec couvercle

Tu veux stocker de l’eau de pluie, mais pas question de transformer ton jardin en nurserie pour moustiques. Parce qu’on va être clair : laisser de l’eau stagnante à l’air libre, c’est l’invitation rêvée pour que les insectes s’y donnent rendez-vous tous les soirs à 18h tapantes.

Et là, c’est la cata.

Tu te retrouves avec une eau trouble, qui commence à sentir le vieux lac, avec un concert de bzzzz à chaque fois que tu t’approches du bac.

Pas très glamour pour arroser les plantes ou laver ta voiture.

La solution ? Le seau de pluie avec couvercle.

Un truc tout bête, mais qui change tout.

Ce genre de seau, c’est un peu le garde du corps de ton eau. Il bloque l’accès aux bestioles, aux feuilles mortes, à la poussière… et surtout à l’oxygène. Parce que moins l’eau est en contact avec l’air, plus elle reste stable, propre, et sans odeur.

Et ce n’est pas juste un couvercle posé à l’arrache. On parle ici d’un vrai couvercle hermétique, qui se clipse, se visse, se ferme bien. Comme un tupperware, mais version XXL.

Tu peux même le laisser dehors sans flipper à chaque coup de vent.

Et devine quoi ? Il est souvent équipé de poignées solides, donc ultra simple à déplacer même quand il est plein à ras bord. Tu peux le trimballer d’un coin à l’autre de ton terrain, ou le planquer à l’ombre derrière un cabanon pour garder l’eau au frais.

Parce que oui, l’ombre est ton alliée.

L’eau chauffée par le soleil ? C’est le début des ennuis.

Elle s’évapore plus vite, elle devient un nid à bactéries, et elle finit par puer comme un aquarium oublié.

Alors tu planques ton seau de pluie à l’abri du soleil, et tu oublies qu’il est là… jusqu’au jour où tu en as besoin.

Et ce jour-là, tu seras bien content de retrouver une eau limpide, sans larves de moustiques qui dansent la zumba dedans.

Certains modèles vont même plus loin : ils sont empilables. Oui oui.

Tu peux en aligner plusieurs dans un coin, les empiler façon Lego, et doubler (ou tripler) ta capacité de stockage sans grignoter tout ton espace extérieur.

C’est sobre, c’est pratique, et c’est efficace.

Tu ne joues pas au chimiste, tu ne bricoles pas des filtres maison avec des chaussettes et du sable. Tu fermes le couvercle, point barre.

Et si vraiment tu veux jouer à fond la carte de l’optimisation, tu peux même raccorder ton seau directement à un petit dérivateur de gouttière. L’eau tombe dedans toute seule. Pas besoin de verser à la main ni de te prendre une rincée en pleine nuit.

Bref, le seau de pluie avec couvercle, c’est le bon élève du stockage d’eau. Pas bruyant, pas envahissant, mais toujours là quand tu as besoin de lui.

Et l’air de rien, c’est lui qui te sauve la mise quand toutes les autres solutions sont à sec.

À la fois simple et intelligent, c’est le genre de petit achat qui te fait te demander pourquoi tu ne l’as pas fait plus tôt.

Conclusion

Récupérer l’eau de pluie, c’est un peu comme redécouvrir une ressource qu’on avait sous le nez.

Gratuite, naturelle, abondante… et pourtant sous-exploitée.

Quand tu vois l’eau couler du ciel, tu peux la regarder filer… ou la garder précieusement.

Avec les bons accessoires, pas besoin d’être ingénieur hydraulique pour t’y mettre.
Un entonnoir bien placé, une bâche bien tendue, un seau bien fermé, et hop : tu deviens collecteur officiel de pluie municipale.

Ce n’est pas une lubie d’écolo extrême, c’est juste du bon sens.

Parce qu’économiser l’eau potable pour faire pipi ou laver un arrosoir, c’est comme sortir la porcelaine de grand-mère pour une pizza surgelée : un peu excessif, non ?

Alors fais simple. Commence petit. Une bâche, un seau, un coin d’ombre.

Tu verras, ça coule tout seul.

Et qui sait ? La prochaine fois que tu entendras la pluie taper sur les vitres un dimanche après-midi…
Tu ne râleras pas.

Tu souriras.