Tu t’es déjà retrouvé raquette en main, prêt à envoyer des aces… et là, bim : la pluie qui s’invite sans prévenir.
Une petite bruine au début, puis rapidement une vraie drache comme on les aime en plein mois de juillet.
Tu regardes le ciel. Tu regardes le terrain. Tu regardes ton adversaire.
On continue ? On annule ?
La question paraît bête.
Et pourtant… tu serais surpris du nombre de joueurs qui hésitent vraiment à jouer sous la pluie.
Parce que oui, c’est techniquement possible. Mais pas sans conditions.
Il y a la glissade qui te fait regretter ton dernier café.
La balle qui devient molle comme un chamallow.
Et ce terrain qui se transforme en patinoire improvisée.
Mais tu sais quoi ?
Avec un peu de bon sens… et quelques bons accessoires, tu peux transformer une séance galère en vrai moment de kiff.
Peut on jouer au tennis sous la pluie?
Spoiler : la réponse est plus nuancée qu’un court en terre battue détrempé.
On va tout décortiquer ensemble.
Sommaire
Pourquoi ?
Toutes les pluies ne se valent pas.
Il y a la bruine légère, presque romantique, qui chatouille la nuque et donne un petit goût de défi au match.
Et puis il y a l’averse costaude, celle qui transforme le court en piscine municipale.
Dans un cas, tu peux adapter ton jeu.
Dans l’autre… tu poses la raquette et tu vas boire un chocolat chaud.
Et puis il y a la règle “officielle”.
Dans les compétitions pros ? Zéro discussion. Dès que la pluie s’invite, le match est arrêté.
Pas de prise de risque, pas de tentative de braver les éléments.
Les joueurs rentrent, les ramasseurs bâchent le terrain, et tout le monde attend que ça passe.
Mais toi, en loisir, t’as le droit d’être un peu plus souple.
Tant que ça reste raisonnable et sécurisé, rien ne t’empêche de continuer… ou de tenter un petit échauffement à la Roger sous les gouttes.
Sauf que voilà, tous les terrains n’aiment pas l’eau.
Un court en terre battue, par exemple, absorbe un peu l’humidité, mais devient vite impraticable quand il est détrempé.
La balle y rebondit à peine, et la surface se dérobe sous tes pieds.
Le synthétique, lui, garde bien mieux l’eau en surface. Résultat : des flaques, des glissades, et des rebonds aussi aléatoires qu’un tirage au sort.
Quant aux terrains en dur, ils sont un peu plus résistants, mais une fine couche d’eau suffit à les rendre glissants comme une patinoire.
En résumé : entre la pluie, la surface et ton envie de prendre des risques, il y a un vrai match à jouer… avant même d’avoir servi la première balle.
Et maintenant que tu sais pourquoi la pluie change la donne, voyons comment tu peux t’adapter intelligemment sans finir comme une éponge usagée.
Comment jouer au tennis sous la pluie ?
1/ Adapter sa gestuelle et ses déplacements
Ton jeu doit s’adapter. Sinon, c’est toi qui vas t’écraser.
Sous la pluie, oublie tout ce que t’as appris sur les déplacements dynamiques et les changements d’appui violents.
Courir comme un dératé pour rattraper un amorti, c’est peut-être stylé quand le sol est sec…
Mais sur un terrain humide, c’est une invitation à faire connaissance avec le bitume (ou la terre battue, version gadoue).
La première chose à faire : ralentir.
Pas au niveau du bras, hein — continue de mettre de l’intensité dans tes frappes si tu peux — mais sur tes jambes, il faut passer en mode contrôle.
Pense à un félin prudent plutôt qu’à un taureau lancé à pleine vitesse.
Moins tu cours, moins tu risques de finir en crêpe au sol.
Et ça ne veut pas dire devenir passif.
Ça veut dire jouer plus juste.
Anticiper un peu mieux.
Lire un peu plus vite.
Réduis les déplacements inutiles et favorise les petits pas glissés plutôt que les grandes enjambées.
Ton objectif, ce n’est pas de briller en couverture de Tennis Magazine.
C’est de survivre à l’échange sans finir avec un strap sur la cheville.
Autre point crucial : la précision.
Dans un jeu classique, tu peux parfois compenser une frappe imprécise par un bon placement ou une accélération en bout de course.
Mais sous la pluie, tous les bonus sont supprimés.
Si tu tapes trop fort, la balle fuse moins, les rebonds sont hasardeux, et tu perds l’avantage.
Il vaut mieux viser le centre de la raquette, jouer plus haut au-dessus du filet, et privilégier les zones plutôt que les angles fous.
Le tennis sous la pluie, c’est un jeu d’échecs mouillés.
Et n’essaie même pas de faire comme Djokovic en finale de Roland : les glissades maîtrisées, c’est un truc de pro… sur terrain sec.
Toi t’as pas des semelles faites sur-mesure ni une équipe médicale à 3 mètres du filet.
Si tu te lances dans une glissade improvisée, tu risques de finir plus bas que terre — au sens propre.
C’est là que beaucoup jettent l’éponge.
Parce que jouer prudemment, ça demande de l’attention, de la patience, et un peu de frustration à avaler.
Tu passes ton temps à te retenir. Tu dois penser à chaque appui. À chaque frappe. À chaque rebond.
Et franchement, c’est fatigant.
Mentalement, surtout.
Le plaisir de jeu est moins instinctif. Plus cérébral.
Un faux pas, un excès de confiance… et tu rentres chez toi avec une belle histoire à raconter à ton kiné.
Mais bonne nouvelle : il existe une autre option.
Une solution pour continuer à jouer sans se transformer en crabe glissant sur la ligne de fond.
Et si, plutôt que de te brider à chaque mouvement, tu t’équipais simplement comme il faut ?
On en parle tout de suite.
2/ Porter un manteau imperméable avec ceinture

Jouer sous la pluie sans être trempé jusqu’au caleçon ? C’est possible.
Mais pour ça, il te faut un vrai allié textile. Pas un vieux K-Way trop large qui claque au vent comme une voile de bateau.
Pas non plus cette veste de rando rigide qui t’étouffe dès que tu lèves le bras.
Ce qu’il te faut, c’est un manteau imperméable avec ceinture.
Un truc léger, sobre, mais pensé pour bouger.
Un manteau qui te suit dans tes déplacements sans faire “flap flap” à chaque volée.
Sa coupe longue tombe pile comme il faut : elle couvre les cuisses sans te gêner pour courir.
Et la ceinture, ce n’est pas juste pour le style.
Elle permet au manteau de rester bien plaqué au corps.
Pas de flottement, pas d’effet parachute.
Juste toi, sec et mobile.
Tu peux lever les bras, frapper des coups droits, te baisser, faire des services à la cuillère (si tu oses) : rien ne bloque, rien ne coince.
Les manches sont amples mais pas lâches, pile la bonne taille pour respirer tout en gardant la chaleur.
Et on ne parle pas de plastique bruyant ou d’effet “sac-poubelle” ici.
Le tissu est doux au toucher, agréable même à porter à même la peau.
Mais ne te laisse pas avoir par sa texture confortable : l’eau, elle, ne passe pas.
Tu peux te prendre une averse de fin du monde, le manteau encaisse sans broncher.
Et en plus, il sèche vite. Très vite.
Tu termines ton match, tu le plies dans sa poche avant, tu le ranges dans ton sac…
Et hop, prêt pour la prochaine drache.
Le vrai plus ? Il est suffisamment ample pour être porté par-dessus ton hoodie préféré.
Pas besoin de choisir entre confort et protection.
Tu restes bien au chaud sans jamais te sentir saucissonné.
Et oui, il existe en kaki et en rose.
Discret ou audacieux, à toi de voir si tu veux te fondre dans le décor ou faire ton showman même sous la flotte.
Alors bien sûr, tu pourrais continuer à jouer avec ton sweat détrempé et les manches qui collent à la peau…
Mais à un moment, il faut savoir se faire un petit cadeau.
Le manteau imperméable avec ceinture, c’est un peu la version waterproof de la tenue de super-héros.
Tu ne voles pas, mais tu ne glisses pas non plus.
Et ça, pour un joueur de tennis sous la pluie, ça vaut tous les super-pouvoirs du monde.

Manteau impermeable avec ceinture
- Coupe longue avec ceinture, confortable et élégante
- 100% polyester, imperméable, léger et écolo
- Se plie dans sa poche, facile à transporter
3/ Préparer le terrain (quand c’est possible)
Tu peux avoir la meilleure raquette, les meilleures chaussures, et même un coup droit façon Nadal… si ton terrain ressemble à une mare aux canards, tu ne feras pas long feu.
Avant même de penser à frapper dans la balle, il faut préparer ton champ de bataille.
Parce que sous la pluie, chaque flaque devient un piège.
Et chaque rebond peut tourner à la loterie.
La première mission, si tu veux jouer dans des conditions décentes : traquer l’eau.
Éponge, raclette, serviette, manche de pull en fin de vie… peu importe l’arme, tant que tu t’en sers.
Il faut retirer un maximum d’humidité en surface, surtout dans les zones de rebond et près du filet.
Pas besoin que le terrain soit sec comme le Sahara, mais il doit au moins éviter les flaques stagnantes qui transforment une balle neuve en éponge de cuisine.
Si tu joues régulièrement sur le même terrain, essaie d’observer une chose : le sens du drainage.
Certains courts ont une légère pente, à peine visible à l’œil nu, mais suffisante pour guider l’eau vers un coin précis.
Devine quoi ? C’est là qu’il faut poser ta serviette en embuscade.
Et d’ailleurs, parlons-en de la serviette.
Investis dans une serviette microfibre.
Ce n’est pas juste une lubie de sportif maniaque.
Elle absorbe l’eau en un clin d’œil, sèche vite, et se glisse dans ton sac sans prendre de place.
C’est un peu la baguette magique du tennisman sous la pluie.
Tu peux l’utiliser entre deux jeux, pour essuyer ta raquette, tes mains, le manche, voire même… le sol.
Oui, ça fait bizarre au début de passer la serpillière en plein match, mais c’est soit ça, soit finir les fesses au sol.
Et attention, on ne parle pas ici de transformer le court en salle d’attente d’esthéticienne.
Tu ne dois pas passer une heure à tout nettoyer.
Le but, c’est de rendre la surface “jouable”, pas parfaite.
Un petit coup de serviette là où tu poses les pieds, un passage rapide sur les lignes, et tu gagnes déjà en sécurité.
Mais soyons honnêtes : c’est chiant.
C’est fastidieux, chronophage, et franchement pas très fun.
Et le pire ? C’est que parfois, tu passes 15 minutes à tout sécher… et il se remet à pleuvoir dans la foulée.
Dans ces moments-là, tu te demandes si t’aurais pas mieux fait de rester chez toi à mater un replay de Wimbledon.
Et pourtant, quand tu vois ton adversaire galérer dans ses appuis alors que toi tu glisses avec contrôle sur ton demi-court bien préparé…
Là, tu savoures.
Préparer le terrain, c’est comme faire les lacets avant de courir. C’est relou, mais essentiel.
Et ceux qui prennent ce temps-là jouent toujours un cran au-dessus des autres, même sous les gouttes.
Alors oui, ça demande un peu d’effort.
Mais sur un terrain détrempé, chaque goutte que tu fais disparaître, c’est un point que tu sauves.
4/ Opter pour un manteau imperméable adulte

Il y a des jours où la météo te teste.
Pas juste quelques gouttes pour faire joli… non. De la pluie lourde, du vent, le combo parfait pour annuler un match.
Sauf si t’es équipé comme il faut.
Et dans ce genre de situation, le coupe-vent classique ne suffit plus.
Trop fin, pas assez étanche, il finit toujours par laisser passer l’humidité.
Tu finis trempé, gelé, et frustré de t’être donné autant de mal… pour rien.
Ce qu’il te faut dans ces moments-là, c’est un vrai manteau imperméable adulte.
Un modèle pensé pour affronter le déluge.
Pas un truc de rando du dimanche, mais une pièce robuste, technique, et efficace même quand les éléments se déchaînent.
Le tissu Oxford est ton meilleur allié.
Épais, résistant, il ne laisse rien passer : ni l’eau, ni le vent, ni même cette fine bruine sournoise qui te glace les os sans prévenir.
Il encaisse les frottements, les éclaboussures, les mouvements répétés sans se déchirer ni s’user.
C’est l’armure des jours de tempête.
Et contrairement à d’autres modèles plus rigides, celui-ci reste souple.
Tu peux bouger, servir, courir, coacher, encourager…
Sans te sentir enfermé dans une toile de tente mal pliée.
La capuche est réglable, bien enveloppante, et ne s’envole pas au moindre coup de vent.
Tu peux même serrer le col pour rester bien au chaud, même si les bourrasques décident de s’inviter à la fête.
Et surtout : les coutures sont étanches.
Pas de fuite sournoise dans le dos ou les épaules.
Tu restes au sec, de la première balle jusqu’au tie-break final.
Ce manteau a d’ailleurs été pensé à l’origine pour… les motards.
Oui oui, les gars qui roulent à 90km/h sous la pluie.
Autant te dire qu’en statique, sur un court ou en bord de terrain, tu ne risques rien.
Et il ne s’adresse pas qu’aux joueurs.
Tu coaches un match ? Tu accompagnes un enfant à son cours ? Tu regardes depuis les gradins ?
Ce manteau est aussi fait pour toi.
Il couvre bien tout le haut du corps, descend sur les hanches, et protège même les vêtements que tu portes dessous.
Petit bonus sécurité : il existe en jaune fluo ou orange.
Parfait si tu veux rester visible sous une pluie dense ou quand la lumière décline.
Ça peut faire la différence en bord de route ou sur un terrain mal éclairé.
Côté taille, aucun souci.
Du M au 3XL, tu trouveras forcément ce qu’il te faut, même si tu veux l’enfiler par-dessus un gros pull.
Alors oui, tu pourrais t’entêter avec ta veste fine et finir trempé comme un chien errant…
Ou alors tu fais le choix du confort, de la sécurité, et du bon sens.
Le manteau imperméable adulte, c’est pas un accessoire. C’est un vrai équipement de survie.
Et sous une averse, crois-moi, tu seras content de l’avoir sur le dos.

Manteau imperméable adulte
- Tissu Oxford épais pour une protection durable.
- Format monobloc qui garde tout le haut du corps au sec.
- Couleurs fluo et tailles M à 3XL pour être vu et bien couvert.
5/ S’échauffer plus longuement
u veux éviter les claquages, les courbatures surprises, et les grimaces au premier service ? Alors sous la pluie, l’échauffement, c’est non négociable.
Et non, je ne parle pas de trois coups de bras en l’air et deux petits sauts sur place façon “échauffement express”.
Sous la pluie, ton corps est en mode vigilance : il se refroidit plus vite, les muscles sont raides, et la moindre accélération peut tourner au drame.
Quand il fait humide et froid, ton corps perd naturellement en élasticité.
C’est un peu comme un élastique qu’on sort du congélo : il est tendu, fragile, prêt à casser au moindre étirement brutal.
Et si tu lances un sprint sans prévenir tes ischios, ils te le feront payer cash.
Tu sors en boitant, en pestant contre la météo, alors que le problème, c’était juste… que t’as zappé l’échauffement.
Tu dois prendre quelques minutes de plus.
Pas une demi-heure de gym militaire, non.
Mais au moins cinq bonnes minutes de cardio dynamique : montées de genoux, talons-fesses, petites courses latérales.
Fais chauffer la machine. Active la circulation. Préviens ton corps que tu vas bouger.
Et surtout, garde la chaleur. Ne te refroidis pas entre deux séries.
Parce qu’en pleine pluie, le vent se charge de faire tomber ta température corporelle en flèche, et là… adieu fluidité, bonjour raideur.
Une astuce ?
Reste en mouvement entre les échanges.
Marche, bouge les jambes, fais quelques sauts sur place.
L’inactivité, c’est l’ennemie numéro 1 sous la pluie.
Et une fois le match terminé, ne pars pas direct en mode “j’enfile mon sweat trempé et je rentre au chaud”.
Tu dois aussi t’échauffer… à l’envers.
Un petit retour au calme, quelques mouvements doux, un peu d’étirement.
Pas question de passer de 100 à 0 brutalement, surtout quand tu es mouillé jusqu’à la peau.
L’après-match compte autant que l’avant.
Parce que c’est là que tu risques de te réveiller le lendemain avec des jambes en béton armé et le dos aussi souple qu’un manche à balai.
Alors oui, je te l’accorde : ça ne protège pas de la pluie.
Tu peux faire tous les squats du monde, si t’es en t-shirt trempé sous une averse, tu vas quand même grelotter.
Mais l’échauffement, c’est ce qui t’évite le claquage bête ou le petit pincement qui t’empêche de rejouer pendant deux semaines.
C’est une assurance pour ton corps.
Et sous la pluie, c’est probablement ton meilleur investissement… après un bon manteau.
Alors tu peux faire le rebelle, zapper l’échauffement et croiser les doigts.
Ou tu peux faire comme les joueurs malins : tu bouges, tu respires, tu actives.
Et tu joues sans douleur, même mouillé jusqu’aux lacets.
6/ Miser sur le manteau imperméable logo Redbull

Tu veux jouer sous la pluie sans ressembler à un sac plastique… et en gardant un peu de style dans la tempête ?
Alors oublie les vestes ternes, les k-ways transparents ou les ponchos de festival.
Mets-toi en mode sport/urbain avec un vrai manteau imperméable qui envoie du lourd : le modèle logo Redbull.
Ce manteau, c’est pas juste un vêtement qui repousse l’eau.
C’est un statement.
Un mix parfait entre performance, confort et look racé.
Tu l’enfiles, et bam : t’as la dégaine d’un pilote de Formule 1 en plein footing.
Et niveau technique, rien n’a été laissé au hasard.
La matière en polyester résiste à la pluie tout en laissant la peau respirer.
Tu restes au sec sans finir en cocotte-minute.
Même après une heure à courir après des balles, tu n’as pas cette sensation collante et moite qu’on déteste tous.
La capuche intégrée est un bijou de praticité.
Elle se cale bien sur la tête, ne bouge pas, ne s’envole pas.
Pas besoin de tirer toutes les deux minutes ou de la serrer comme un casque.
Et surtout : tu n’as pas besoin d’un parapluie pour te protéger, même quand la pluie s’intensifie.
Le logo Redbull sur la poitrine ne passe pas inaperçu.
C’est l’emblème de ceux qui bougent, qui vivent à fond, qui ne laissent pas trois gouttes d’eau gâcher leur session.
Un peu comme si tu disais au monde : “Je suis prêt. Même mouillé, je reste rapide.”
Et parlons un peu du style.
Le manteau Redbull ne se limite pas aux courts de tennis.
Tu peux le porter en ville, en sortie, ou en rando légère.
Son design moderne et ses coloris (vert, orange, noir, bleu) lui donnent un vrai côté passe-partout sans jamais être fade.
Tu choisis selon ton humeur du jour : discret ou affirmé, à toi de jouer.
Il est dispo du M au 4XL, ce qui veut dire qu’il s’adapte à toutes les morphologies.
Même si t’as une grosse doudoune ou un hoodie en dessous, ça passe tranquille.
Et les détails pratiques ne manquent pas : poignets resserrés pour garder la chaleur, doublure douce à l’intérieur, zip solide qui ne lâche pas à la première bourrasque.
C’est le genre de manteau que tu peux enfiler pour jouer… puis garder pour aller boire un verre après.
Pas besoin de se changer : tu restes stylé, même après trois sets dans l’humidité.
Alors non, il ne te donnera pas des ailes.
Mais il t’évitera d’attraper une crève, il te gardera mobile, et surtout : il t’assurera une allure au top, même sous la flotte.
Parce que braver la pluie, c’est une chose. Le faire avec panache, c’en est une autre.
Et là-dessus, le manteau imperméable Redbull met tout le monde d’accord.

manteau impermeable logo redbull
- Imperméable, coupe-vent et doublé en polyester
- Logo Red Bull et style décontracté
- Dispo du M au 4XL, 4 coloris
Bilan de l’article
Jouer au tennis sous la pluie, c’est pas une folie… mais faut pas y aller les mains dans les poches non plus.
Entre terrain glissant, rebonds imprévisibles et chaussettes qui finissent en éponges, la moindre erreur d’anticipation peut te transformer en cascadeur malgré toi.
Mais si tu t’équipes bien, si tu adaptes ton jeu, et si tu prends deux minutes pour préparer le terrain, tu peux transformer ce moment en challenge (presque) agréable.
La pluie ne t’empêche pas de jouer.
Elle t’oblige juste à jouer autrement.
Alors oui, ce ne sera pas ton meilleur match niveau stats.
Mais en termes de plaisir, de sensations différentes, et de souvenirs mémorables, tu vas marquer des points.
Et si vraiment les gouttes deviennent des seaux ?
Tu ranges la raquette, tu sors les mugs, et tu te fais un tournoi de ping-pong dans le garage.
Parce que sous la pluie ou pas… le jeu continue.